Jonathan Rowe : La conférence de presse

le replay de la conférence de presse

Fabrizio Ravanelli : «Vitesse et percussion»

Jonathan Rowe, 21 ans, attaquant, international anglais espoir en provenance de Norwich. Il a réalisé une très bonne saison 2023-24. Il a montré toute sa vitesse et sa percussion dans les 20 dernières minutes du match contre Reims. Il a aussi montré sa personnalité.

Jonathan Rowe : «C’était une évidence»

J’ai toujours su que l’OM était un grand club au niveau européen, un club qui a de grandes ambitions. C’est un défi d’être ici et je suis très content d’être là.

J’ai joué à tous les postes de l’attaque au cours de ma carrière. Je me sens bien à tous les postes offensifs et je jouerai là où le coach me demandera de jouer. Je veux faire de bonnes choses.

Avant de venir ici, je savais que les supporters étaient formidables. Cela peut être une pression supplémentaire pour les joueurs. Être accueilli à l’aéroport, l’accueil au stade, cela allait au-delà de mes espérances.

Oui, il y a un cap entre le Championship et la L1. C’est un des meilleurs championnats d’Europe, Je veux me faire une place ici. Je veux être prêt mentalement avant de performer au mieux. Je fais confiance au processus et je sais de quoi je suis capable.

Je n’avais pas vraiment d’idole. J’aimais regarder le foot. Je suis direct, tenace, avec l’envie d’avoir de l’impact dans les matchs, et l’envie de gagner.

Cela dépend de la façon dont le coach veut que l’on joue. Je dois être en mesure de prendre de la vitesse, d’être efficace.

C’est un mélange de tout ça. Marquer des buts est le plus grand plaisir dans le foot, faire une passe décisive aussi. C’est sympa aussi e dribbler. Je veux que les gens se lèvent et s’émerveillent en me voyant jouer.

On a eu des conversations avec le coach avant mon arrivée. On s’est rapidement bien entendu. Dans l’axe ou dans les couloirs, il veut me voir dans un poste offensif.

Ma relation au football, c’est une vieille histoire. J’ai grandi au nord-ouest de Londres. Je jouais au foot dans la rue pendant des heures jusqu’à que ma mère me demande de rentrer pour le repas. Cela a toujours été en moi. Petit, je shootais partout dans la maison. Je suis tombé dedans dès ma plus tendre enfance.

Quand j’étais petit, j’aimais être dehors pour pratiquer du sport, peu importe le sport. Je ne connaissais pas grand-chose au foot. Je l’ai su au travers mes amis. En grandissant, mon rêve est devenu plus clair. Je me suis rendu compte que je pouvais vivre du foot.

Avant de venir ici et depuis mon arrivée, on m’a parlé des grands joueurs, des légendes, comme Ravanelli, Drogba, Nasri… Je vous mentirais que j’en sais beaucoup sur Waddle mais je vais regarder des vidéos pour m’inspirer de sa classe.

Je savais qu’il y avait des grands joueurs et de grandes personnes dans l’équipe. On se tire vers le haut, c’est positif. On peut atteindre de grandes choses ensemble.

Dès que Marseille est devenu une option, une flamme s’est allumée. j’ai su que ce serait un défi pour moi. Le stade, les supporters, la passion, il y a beaucoup de choses qui reflètent ce que représente le foot pour moi. C’était une évidence.