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Luiz Felipe Ramos : La conférence de presse
le replay de la conférence de presse
Fabrizio Ravanelli : « Un état d’esprit qui correspond à Marseille »
Nous sommes très fiers de présenter Luiz Felipe, défenseur de 27 ans qui a joué dans les championnats espagnol et italien. Je le connais bien car il a joué, comme moi, à la Lazio. Il va vite, il est fort dans les duels et avec la tête. Il aime defendre. Nous sommes très fiers de sa venue. Il a un fort caractère, il a un bon état d’esprit, qui correspond à Marseille. Il va amener son expérience dans le vestiaire.
Luiz Felipe Ramos : «j’ai très envie d’apprendre avec le coach»
Je suis très heureux d’être ici. Je veux remercier le président qui m’a donné cette opportunité de porter ce maillot. Le maillot d’une ville qui respire le football. Le club est en train de grandir. Je suis heureux de ce choix. Je remercie également Fabrizio et Medhi Benatia ainsi que mes coéquipiers.
Je me sens bien depuis le mois de septembre. Je m’entrainais avec mes équipiers en Arabie Saoudite. Il n’y a qu’en décembre que je m’entrainais seul. Je suis prêt à recommencer au plus vite.
Il me faut encore quelques semaines pour avoir le niveau que je veux avoir. Avec le staff technique, on travaille pour que je me sente bien et que je me sente bien tout au long de la saison. Je suis très heureux de pouvoir être entraîné par Roberto De Zerbi.
Roberto De Zerbi a été fondamental dans mon choix. L’OM est un grand club, cela a compté énormément. Quand un club comme cela te fait sentir important, tu dis « oui ». Cela a toujours été difficile de jouer contre ses équipes. On sent que ses joueurs s’éclatent sur le terrain, je suis aussi venu pour cela.
Oui bien sûr. Ici, il y a un grand projet. Tous les dirigeants s’emploient pour mettre le club le plus haut possible. C’est le début d’un grand projet. L’OM doit être dans le top 4. Il y a un gros travail ici à Marseille.
Tous les championnats sont difficiles. Il n’y a plus de match facile. J’ai joué ici contre Nice et Marseille, ce sont des matchs physiques. Le championnat se développe, les attaquants sont très physiques, ils prennent la profondeur, je vais devoir être prêt pour les duels.
Avant d’arriver au stade, on sent l’ambiance. A l’échauffement, l’ambiance est déjà grande. On entend les gens crier et chanter.
Oui, je connaissais Milik depuis longtemps. On avait fait 1 à 1. Payet avait égalisé à la fin, c’était un beau match.
La première fois que l’on m’a appelé, c’était le 26 ou le 27 décembre. Monsieur Benatia m’a parlé du projet du club. On voit que c’est sérieux, je me suis bien senti ici, dès le premier jour, comme à la maison. Je dois travailler pour revenir à mon niveau.
Joaquin Correa m’a toujours dit du bien du club. Il m’a parlé des supporters, cela nous pousse à courir. Il m’a toujours du bien de la ville, du club, des gens ici.
Comme l’a dit Fabrizio Ravanelli, je suis un joueur qui donne tout en match. Tous les matchs sont importants. En Italie, on apprend à défendre. Je suis un joueur humble, j’ai très envie d’apprendre avec Roberto De Zerbi. Je suis dur sur l’homme, agressif, parfois trop même. J’ai très envie de continuer à apprendre.
Je connais le coach depuis l’Italie. C’est difficile de jouer contre ses équipes. Elles ont la possession du ballon. J’ai regardé des vidéos. Tout le monde veut travailler avec lui, car les joueurs s’éclatent sur le terrain. On va travailler tous les jours.
Tout le monde m’a bien accueilli. Je me suis senti comme chez moi. J’ai joué contre l’OM en amical. L’OM joue bien, le classement parle pour le groupe. Le groupe est uni, tout le monde tire dans le bon sens. C’est un travail d’équipe où tout le monde a un rôle important.
Je connais Leonardo Balerdi, c’est un très bon défenseur. Il est capitaine de l’Argentine, ce serait un bonheur de jouer à ses côtés sur le terrain.
Marseille est un peu comme Rome. Les supporters sont passionnés de football. Cela ressemble à Naples aussi. Ils aiment les joueurs qui se battent pendant 90 minutes. Je sais où je suis arrivé. Les joueurs doivent toujours être au taquet. A Séville, c’est pareil. Ici, les gens sont fous de leur club.
Oui Ramos, c’est bon.